In Vivo : Workshop « Poulailler » / Les étudiant·x·es en 3e année Design construisent une maison pour non-humain·x·es
du mardi au lundi
- Deux temps de travail : les 12-13.11.2024 et le 5.05.2025.
Les étudiant·x·es en 3e année Deisgn (Licence In Vivo) travailleront avec l’artiste-designer Nathan Willerval à la construction d’une maison pour des êtres non-humains. Le workshop complètera le travail enclenché dans le cadre du cours pratique « La maison Poulaga », qui propose de concevoir une architecture d’habitat collectif pour d’autres espèces (poulailler, volière), en tenant compte de critères techniques et écologiques essentiels.
Workshop La maison Poulaga en mode supersonic – Épisode 2 (piocher/gratter)
Dans un premier temps, les étudiant·x·es finaliseront les dessins préparatoires à la construction et aménageront le terrain dédié dans le jardin de l’école (terrassement). Cette étape sera suivie de tests de production avec les matériaux choisis. En mai, les étudiant·x·es construiront le poulailler à l’emplacement choisi, accompagné·x·es par Nathan Willerval.
Nathan Willerval
Diplômé d’un DNSEP de l’École supérieure d’Art Annecy Alpes (ESAAA), Nathan Willerval est artiste plasticien et artisan designer. Il habite aux abords du parc naturel des Bauges, où il travaille depuis 2021 sur différents projets qui varient au gré des saisons, entre la pratique du dehors (jardin, observation du vivant et questionnement sur le paysage) et la pratique d’atelier (structures et constructions, sculptures, artisanat).
Il réemploie, recycle, détourne et redonne vie aux objets et pratiques artisanales. Le vivant, et tout particulièrement les arbres, sont à l’épreuve de ses observations et de ses expériences. La poésie impacte les matériaux et les usages. Le jardin se fait sculpture mouvante et le paysage devient sujet. Ces sculptures / structures telles le rucher des Forges ou le Poulailler du Pré de la forge questionnent la praticabilité de l’œuvre, la relation entre l’humain et l’espèce vivante.
Images : Construction du poulailler, mai 2025 – crédits : Isabelle Handley
